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L’AGE de la FIF a accouché de bonnes nouvelles / L’ouverture des candidatures : 5 mars – L’ouverture de la campagne : 15 mars – L’élection : 23 mars à Yamoussoukro

L’assemblée générale extraordinaire (AGE) de la Fédération Ivoirienne de Football (FIF) a accouché de bonnes nouvelles. Elle s’est déroulée du samedi 26 février aux environs de 10 heures jusqu’aux premières heures du dimanche.

 Les Statuts et le Code électoral approuvés à l’unanimité 

Réunis lors des assises du samedi 26 février, 80 membres statutaires (14 clubs de Ligue 1, 24 clubs de Ligue 2, 38 formations de Division 3 et 4 groupements d’intérêt) ont approuvé à l’unanimité les Statuts et Code électoral de la FIF. Article par article, les différents membres se sont accordés sur ces textes pour faire un grand pas vers la tenue prochaine de l’élection du nouveau président de l’instance fédérale. 

Après la fin des travaux, Mme Dao Gabala a été face à la presse.

“ Nous nous félicitons de la participation des membres statutaires. De mémoire d’acteur du football Ivoirien, il n’y a jamais eu cette ouverture et des discussions sur les Statuts et Code électoral. Pour nous, cela signifie que les différents acteurs s’approprient leurs propres instruments, leur propre constitution.

Pour l’adoption des différents textes, il fallait les 2/3 mais nous sommes arrivés à l’unanimité. Cela veut dire que le processus qui a été engagé est un processus qui a finalement payé ”, a déclaré avec satisfaction la Présidente du Comité de Normalisation, Mme Mariam Dao Gabala. 

 Les prochaines étapes du processus électoral sont connues

A la suite de l’AGO du vendredi 25 février et de l’AGE du samedi 26 février, le Comité de Normalisation de la FIF a dévoilé le chronogramme relatif à l’élection du nouveau président de la FIF:

Source http://lekpakpatosportif.net

Par Laurent Trabi Fév 28, 2022

 – L’ouverture des candidatures : 5 mars – L’ouverture de la campagne : 15 mars – L’élection : 23 mars à Yamoussoukro

Zorro BALLO Epiphanie / un rappel puissant et émouvant d'un grand combat contre l'injustice

Face à la grande Association du WOROBA, de BOUAFLE et, de SINFRA qui regroupe les ressortissants, des régions du BÉRÉ, du BAFING et du WORODOUGOU résidents dans La MARAHOUE, venue rendre un grand hommage, avec des bénédictions, au MINISTRE ZORO BI BALLO Epiphane, à son domicile de SINFRA, sa ville natale, pour sa fidélité au Président de La République, Son Excellence Alassane OUATTARA et aussi dire merci, au Président de La République, pour sa confiance a un fils loyale.

"Conversation téléphonique présumée entre Ouattara et Boubou Cissé" La position de notre président, son Excellence Alassane OUATTARA est connue de toute la planète.

Ils continuent leurs sales besognes, de déstabilisation de notre Pays. De nos jours aujourd’hui la technique et l’informatique sont à un niveau élevé, que tout peut être fait avec des voix retranscrites, frauduleusement.

 Qu'à cela ne tienne, et même...

La position de notre président, son Excellence Alassane OUATTARA est connue de toute la planète, et la position de la communauté Internationale n'est guère différente La stabilité de la Côte d'Ivoire, dérange certaines personnes, car avec leurs ambitions démesurées et précipitées, ils commettent des fautes irréparables, ils s'associent à une junte militaire, avec un Premier ministre opportuniste et incompétent, ça, les vrais hommes politiques Maliens le savent, et ils le disent eux même.

Le Grand Peuple du Mali, dans sa plus grande majorité silencieuse, sait que ce gouvernement est opportuniste et éphémère. Donc chez nous, ici en Côte d'Ivoire ceux qui s'associent à eux, n'ont aucun avenir, à gouverner notre Pays.

 Car Alassane Ouattara continue l'œuvre de paix et de stabilité, de notre sous-région, comme son Père politique, Félix Houphouët-Boigny.

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Au Mali, l'oubli de la mémoire du Cosmogonaute et du Forgeron Dogon : une amnésie symbolique. L'endogénéité et le retour aux sources consistent en la remémoration active et en la réappropriation des modèles cognitifs incarnés par les héros culturels des peuples.

Au Mali, le modèle culturel du Cosmogonaute et du Forgeron Dogon n'est manifestement pas celui dont s'inspirent les élites dirigeantes maliennes actuelles qui comme bien d'autres dans l'Afrique post-coloniale ont fait du POUVOIR SUR LES HOMMES, DU SERVICE DE LEUR EGO , de L'APPROPRIATION PRIVÉE DES RESSOURCES PUBLIQUES , leur OBJECTIF CENTRAL et se sont réappropriés à cette fin l'anti-modèle colonial de capture de l'État, de contrôle de la société par la violence militaire et psychologique .

Qui se souvient de Cheick Modibo Diarra, l'astrophysicien et homme d'État malien destitué en décembre 2012 par les putschistes du capitaine Amadou Haya Sanogo dans un geste de violence militaire et de populisme qui semble jusqu'à preuve du contraire, être devenu le modèle et la norme de la gouvernance politique au Mali ?

Comme semble le prouver l'appétence d'une certaine partie de l'intelligentsia pour le populisme et le détournement instrumental de la rationalité à des fins d'assujettissement des peuples, la science en sa forme théorétique et en sa forme pratique semble ne pas pouvoir normer la politique dans l'État post-colonial africain. La science de l'astrophysicien Cheick Modibo Diarra, la digne postérité du Cosmogonaute mythique Dogon, n'a pas pu réguler la reconstruction de la politique et de l'État post-colonial malien.

N'est-il pas indispensable de souligner que la puissance militaire du pouvoir russe auquel s'adressent les militaires Maliens et une partie de la classe politique pour conforter leur pouvoir personnel repose pourtant sur la puissance de l'astronomie, des mathématiques et de la science physique russe ? 

 

Le ministre Zorro bi Ballo Epiphane à KOUDOUGOU, à 8 kilomètres de BOUAFLE, la capitale de la MARAHOUE

Je vous invite à écouter cette VIDEO. Face à un discours rétrograde, de l'ex-président GBAGBO Laurent à MAMA, dans son village à quelques kilomètres de GAGNOA. Le ministre Zorro bi Ballo Epiphane à KOUDOUGOU, à 8 kilomètres de BOUAFLE, la capitale de la MARAHOUE, devant les populations MORÉ, MOSSI, installés dans cette région depuis la colonisation, venant la haute Côte d'Ivoire, il donne une leçon

  • Publié dans Vidéos

COMMUNIQUÉ DE L’ÉQUIPE DE DÉFENSE DE MONSIEUR CHARLES BLÉ GOUDÉ SUITE À L’ARRET DE LA CPI RELATIF À SA DEMANDE EN INDEMNISATION

La Cour pénale internationale - CPI rejette la demande d’indemnisation de Charles Blé Goudé

La Haye, le 10 février 2022

Ce mercredi 10 février 2022, l’équipe de défense de monsieur Charles BLE GOUDE a reçu notification de la décision de la chambre (constituée pour la circonstance) de la CPI relativement à la demande en indemnisation formulée par leur client. L’équipe de défense prend acte de cet arrêt par lequel la Chambre a décidé à tort de ne pas faire droit à la demande de monsieur Charles BLE GOUDE dont le caractère légitime et fondé demeurent incontestables.

 Monsieur Charles Blé Goude et son équipe de défense tiennent à rappeler que leur demande en indemnisation faisait suite à :

- une arrestation et un transfert à la CPI entachés de très graves irrégularités - près de 6 ans, bientôt 8, d’une dure détention préventive qui n’avait aucune raison d’être - un éclatant acquittement à mi-chemin du procès, sans que la défense n’ait eu besoin de présenter ses preuves et contre-preuves, chose extrêmement rare dans un procès pénal international. - un maintien en exil forcé aux Pays-Bas, loin de son pays la Côte d’ivoire et de ses proches, malgré cet acquittement, faisant ainsi de lui un quasi-apatride. Etc.

Autant d’éléments non-exhaustifs qui montrent à suffisance que la procédure a été menée en violation de ses droits fondamentaux et était frappée de sérieux manquements de la part du Bureau du Procureur. Les dommages irréversibles pour monsieur CBG et sa famille du fait de cette situation demeurent objectivement incontestables et l’histoire en restera témoin à jamais.

Au-delà de sa personne et par cette procédure, Monsieur Charles BLE GOUDE entendait certes faire reconnaître les douleurs que les manquements sus-visés lui ont causées mais surtout amener à éviter que ce qu’il a vécu ne puisse plus jamais se répéter pour un autre être humain, ce afin de préserver les droits fondamentaux des citoyens et l’intégrité de la justice internationale. Aussi, Monsieur Charles Blé Goudé tient-il à réaffirme ici et maintenant sa conviction qu’il ne cessera de se battre afin que la justice et la vérité l’emportent en toutes circonstances.

Pour finir, Monsieur Charles Blé Goudé tient à rappeler qu'il reste toujours en attente de son passeport afin de rentrer chez lui en Côte d'Ivoire conformément à l'ordonnance d'acquittement rendue par la chambre d'appel depuis le 31 mars 2021. Fait à La Haye le 10 février 2022

Pour l’équipe de défense de monsieur Charles Blé Goudé Maître Seri Zokou

Le 23 juin, j’étais l’un des invités sur la chaine international Africaine, AFRICA 24 j’ai affirmé, que le retour de GBAGBO était un épiphénomène

Face au professeur e professeur Hodonou , qui est un partisan de GBAGBO, j’ai affirmé, que le retour de GBAGBO était un épiphénomène, et j’ai ajouté que notre Pays avance, et l’ex-président GBAGBO n’était plus la préoccupation première des Ivoiriens. Et même cela, dans son propre parti politique le FPI, a moins d’une année de son retour, le présent me donne raison.

 Lu pour vous

« Plutôt que de présenter aux Africains son plan de développement de l’Afrique conformément à la prétendue vocation du PPA-CI, Monsieur Gbagbo s’en est pris sans raison à son successeur Alassane Ouattara à Mama. Même si dans la pratique, l’opposition politique se manifeste à travers les critiques sur la gestion des gouvernants, un homme comme Laurent Gbagbo devrait avoir un peu de retenu dans ses critiques, surtout quand il s’agit de Alassane Ouattara.

Car Alassane Ouattara et Laurent Gbagbo, c’est le jour et la nuit : un bâtisseur et un fossoyeur. Après avoir passé dix années à la tête de la Côte d’Ivoire, le guide du PPA-CI dit regretter qu’à l’heure actuelle, le cacao ne soit toujours pas encore transformé sur place.

Si la honte tuait, les gens du PPA-CI seraient devenus des squelettes depuis bien longtemps. Comment peut-on avoir l’audace de parler de transformation locale du cacao quand on a jeté plus de 100 milliards du contribuable ivoirien dans une usine virtuelle Fulton aux États-Unis ?

Pour dire les choses très clairement : Gbagbo est une énorme déception pour la Côte-d’Ivoire et l’Afrique, et à tous les niveaux. Son passage à la tête de ce pays a été une véritable calamité, un accident de parcours. En principe, un homme comme lui ne devrait plus faire la politique. Si les critiques ont été aisées sous Houphouët-Boigny, ce ne sera pas le cas avec Alassane Ouattara. Car Alassane Ouattara est à des années-lumière de Laurent Gbagbo. »

BP, militant Rhdp

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 Je suis aux regrets de souligner que cette affirmation ne correspond pas à la vérité.

Dans l'arrêt de la chambre d'appel de la CPI qui a confirmé l'acquittement du Président et de son compagnon de cellule,"p>FIN DE COMPAGNONNAGE !!! Je l'ai toujours dit, les mots, le temps et la ponctuation choisis dans une phrase sont en mission : celle d'incarner la pensée profonde de leur auteur. Mais je ne m'attarderai pas à faire de la littérature sur la définition du mot "compagnonnage" parce que, de toutes les façons, la signification d'une relation précaire, limitée dans le temps et dans l'espace qu'elle me renvoie, à mon grand étonnement, ne sera probablement pas adoptée par tous. Seulement, dans la continuité de ce mot, le Président Laurent Gbagbo a fait des affirmations, le samedi dernier, qui ne sauraient être justifiées d'un triple point de vue juridique, politique et humain.

AU PLAN JURIDIQUE Quand, parlant du passeport de Charles Blé Goudé, le Président Laurent Gbagbo dit que la CPI à fini son travail le 31 mars 2021 et que "le problème reste entre le gouvernement de CI et lui", je suis aux regrets de souligner que cette affirmation ne correspond pas à la vérité. Dans l'arrêt de la chambre d'appel de la CPI qui a confirmé l'acquittement du Président et de son compagnon de cellule, Il est écrit au point 88 : "En application de la règle 185-1 du Règlement de procédure et de preuve, il est ordonné au Greffier de prendre, aussitôt que possible, toutes les dispositions jugées appropriées pour le transfèrement en toute sécurité de Laurent Gbagbo et Charles Blé Goudé vers un ou des États tel qu’envisagé dans cette disposition, en tenant compte de l’avis des deux personnes". En termes simples, cela veut dire que non seulement les juges ont déclaré le président et son compagnon innocents mais ils ont, en même temps, donné ordre au Greffier de la CPI, de s'assurer que les deux sont rentrés en toute sécurité dans le pays où ils auront décidé de partir.

Peut être que les avocats et les proches collaborateurs de Gbagbo ne lui ont pas dit cela, mais s'il est rentré en toute sécurité le 17 juin 2021 en CI, c'est parce que la travail de veille du Greffier de la CPI s'est accouplé avec la volonté politique du Président Ouattara pour accoucher de toutes les dispositions sécuritaires qui ont été prises. Plus encore, si le travail de la CPI est fini depuis le 31 mars 2021, qu'est-ce qui justifie que Charles Blé Goudé, un homme libre, continue de pointer jusqu'à ce jour toutes les semaines à la CPI ?

AU PLAN POLITIQUE Le président Gbagbo fait la distinction entre son passeport qui lui a été remis et celui de Charles Blé Goudé qui est toujours bloqué, en disant qu'il s'agit de deux choses qu'il ne faut pas mélanger parce qu'il s'agirait de "choses personnelles". Ces propos laissent entrevoir plusieurs incohérences quand on met face à face le discours politique qui a rendu l'homme singulier aux yeux des ivoiriens et sa posture actuelle. En 1991, le président Gbagbo n'était ni étudiant, ni résident de la résidence universitaire lorsque l'armée de CI a fait sa descente musclée sur cette résidence, faisant plusieurs blessés, violées et des morts. Et pourtant, il a organisé la marche historique du 18 février 1992 pour protester. Il était tellement déterminé qu'il se disait prêt à mourir pour la dignité des étudiants "comme Lumumba était mort pour la dignité de son peuple".

N'est-ce pas par ces valeurs de dignité, de solidarité et de courage, valeurs fondatrices du socialisme, que le Président Gbagbo a construit sa relation avec le peuple de CI ?

Avant de revenir en CI, le Président Gbagbo avait placé son retour sous le signe du pardon et de la tolérance, comme on pouvait le voir sur des panneaux publicitaires. A cette occasion, il avait plaidé le cas de Soro Guillaume auprès du président Ouattara.

Et même avant cela, quand le pouvoir Ouattara avait décidé de sévir dans les rangs de l'opposition à coups d'arrestations pendant les remous sociaux liés au 3e mandat, il avait distinctement plaidé le cas de Mme Bédié qui, dit-il, ne devrait pas subir les affres de la politique alors qu'elle n'en fait pas.

Comment peut-il expliquer alors que Blé Goudé, ex Président des jeunes patriotes, doit se défendre seul sans lui face au gouvernement ivoirien ?

Depuis quelle date l'obtention d'un passeport a cessé d'être un droit civil, général et impersonnel pour devenir un problème personnel qui ne concerne que le concerné ?

Depuis quel jour, le droit d'aller et de venir a cessé d'être une liberté fondamentale, un droit humain pour devenir un problème personnel entre un individu et l'Etat ?

Depuis quelle époque un homme politique de gauche, socialiste ne devrait pas se sentir convoqué par l'injustice, ni concerné quand les plus faibles sont écrasés par les plus forts ? Depuis qu'il s'agit de Charles Blé Goudé ? OK.

AU PLAN HUMAIN Charles Blé Goudé n'était ni secrétaire général de la FESCI, ni commandant d'aucun groupe d'autodéfense, ni le chef suprêmes des armées. Et pourtant sous nos yeux, des faits théoriquement imputables à des personnes appartenant à ces entités lui ont été imputés par la CPI. Et quand en plus d'avoir perdu 8 années de sa vie à la CPI, CBG subi encore l'injustice de se voir refuser le passeport ivoirien, n'y a-t-il pas un minimum de compassion qu'il est en droit d'espérer de la part de celui qu'il appelle son père ?

En conclusion, aussi longtemps que les mots avec lesquels le président Gbagbo traite CBG ne seront pas clarifiés ("je ne suis pas Blé Goudé" / "je ne parle pas comme Blé Goudé" / "mon compagnonnage avec CBG s'est achevé") chaque ivoirien sera fondé à croire que Gbagbo n'a plus envie d'entendre parler de CBG. Oui le compagnonnage est achevé, mais les causes du compagnonnage ont-elles disparu de la mémoire du président Gbagbo ?

Oui le compagnonnage est achevé, mais le président, homme de gauche luttant pour la justice et l'égalité, pense t il que les effets de fin du compagnonnage sont égalitaires vis-à-vis des deux compagnons ?

En ce qui me concerne, mon opinion est que tout porte à croire que Charles Blé continue de paye le prix de son refus de faire disparaître son parti politique pour se rallier au PPA-CI, le nouveau parti politique du père de la démocratie et du multipartisme (looolll) en CI.

Oui le président Gbagbo a le droit de donner son amour et sa caution politique à ses bien-aimés, mais au nom de notre histoire commune, au nom de ce que nous fûmes au moins une fois dans la vie dans le même camp et la cible d'autrui, il a le devoir d'avoir pitié de CBG. Le chasseur était allé à la chasse pendant 3 nuits avec un enfant du village qui voulait apprendre la chasse auprès de lui.

Au bout de la 3e nuit, il revint au village sans l'enfant. Et quand les villageois lui demandèrent "où est l'enfant" ?

Il leur répondit : "il boitait je ne pouvais pas l'attendre".

A mon cher aîné Justin Koua qui aime signer "Dieu aime Gbagbo", je veux te saluer en te disant "Dieu n'aime pas les injustes" !!!

La réponse du Deputé Honorable Touré Alpha Yaya, au discours des 100 Jours du PPA-CI de GBAGBO

 Je suis plus que surpris des propos de l’ex-président Laurent Gbagbo qui s’attaque au Président Alassane Ouattara en affirmant qu'un régime n'est crédible que lorsqu’il travaille pour la majorité…..Rires !!!!

  Je donne raison au Président Laurent Gbagbo qui se sent obligé de s'attaquer au RHDP pour marquer son existence. Avant son arrivée, certains de ses partisans croyaient encore à la continuité de la lutte des frontistes mais ils seront vite déçus par la posture de leur mentor préoccupé par des affaires de jupons. 

A la réalité, le retour du ''faible'' de Mama a accouché d'une souris…. Je suis l’un des citoyens de ce pays qui maîtrise le mieux la Côte d’Ivoire car je parcours toutes les régions du pays puisque je suis passé dans toutes les localités, les plus reculées y comprises. 

Le dimanche passé, j’étais de passage a Akekro, l’un des villages de la sous-préfecture de Zagné, dans le département de TAÏ, De Daloa en passant par Zaibo et Djokoué, j’ai vu plus de 200 engins réalisés le bitume de cet axe important. Dans ces localités, j’ai vu de nouvelles écoles, des centres de santé, et des college de proximité sortir de terre. 

A ce stade de mon propos permettez-moi de remercier la ministre Anne Désirée Ouloto, Ministre de la Fonction Publique et de la Modernisation de l'administration, cadre dévouée et dynamique à l'image de son président, engagée pour la transformation structurelle et infrastructurelle de cette partie de notre pays . Bon, bref je laisse les fils de cet département juger !!! Et je leur demande de faire la comparaison ……..

Dieu est amour. Avant l’arrivée du Président Alassane Ouattara, aucune politique véritable d’infrastructures scolaires, sanitaires et routières n’avait été entreprise. Aujourd’hui, l’éloquence du bilan du Fils de Nabintou Cissé se traduit par les milliers de collèges de proximité construits dans nos villages, la réalisation des châteaux d'eau dans tous les chefs-lieux de sous-préfectures, la construction de plusieurs milliers de centres de santé. Quand des partisans, y compris les plus connus, affirment qu'on ne mange pas goudron, il est tout à fait logique que l’ex-pensionnaire de la célèbre prison néerlandaise de Scheveningen juge négatif le bilan du RHDP car pour voir réellement l'excellent travail que fait le Président Alassane Ouattara , il faut avoir la lucidité de ne pas confondre le bitume et la nourriture. Le soleil ne refuse pas de briller sur un village parce qu'il est petit. 

Les Ivoiriens profitent des richesses de leur pays à divers niveaux. Il suffit d'ouvrir les yeux et de se départir de toute esprit partisan pour le voir...

Touré Alpha yaya

‘‘Comme en 2008 avec Yaya, ils ont visé Kessié et l’ont éliminé’’ : Le constat de Fernand Dédeh après l'élimination des Eléphants

Patrice Beaumelle a mis du temps à réorganiser son secteur médian.

Contrairement à 2019, la Côte d’Ivoire ne disputera pas les quarts de finale de la Coupe d’Afrique des Nations. Les Eléphants ont été éliminés en 8ès par une équipe Egyptienne bien organisée et qui a créé énormément de problème aux ivoiriens dans l’entre jeu surtout après la sortie sur blessure du milieu Ivoirien du milan AC. Une sortie prématurée qui rappelle celle de Yaya Touré en 2008 toujours face aux Pharaons. Un constat fait par Fernand Dédeh lors de son traditionnel décryptage après match sur ses réseaux sociaux.‘‘Un de mes squatters assidus : « On doit te soutenir maintenant hein ! Tu dois être à bout de souffle ». Je te l’ai dit. Ils sont formidables, mes quiconque et squatters. Ils me demandent ainsi, de poursuivre ma mission, à Yaoundé. D’aller au bout de la CAN2023. Malgré l’élimination de la Côte d’Ivoire. En fait, les Ivoiriens sont certes déçus, tristes, mais estiment que les garçons ont tout donné face à l’Egypte. Ou du moins, ils ont fait ce qui était en leurs possibilités. Cap sur 2023 à Abidjan.Ambiance plutôt hostile au stade Japoma. Tout allait si bien entre Camerounais et Ivoiriens. Les premiers qui se considèrent comme les frères jumeaux des seconds, les avaient adoptés. Depuis l’arrivée des Eléphants à Douala début janvier, ils étaient comme chez eux. L’amour passion s’est transformé en dépit amoureux. Les hôtes ont décidé de siffler leurs filleuls et de soutenir l’adversaire. Renseignements pris, des personnes qui s’embrouillent sur les réseaux sociaux et qui se font appeler « influenceurs » ont manqué de respect aux Camerounais et au Cameroun. Leurs pendants au Cameroun ont répliqué. Bon, c’était amusant et tout ça, est resté dans les limites de la sportivité. En tout cas, au stade Japoma, c’était sans excès. Les Camerounais dits en colère, se sont même surpris, un moment, à applaudir les Ivoiriens sur le terrain. Quand Eric Bailly, avec assurance, ressortait des balles chaudes dans la surface de réparation. Ou quand Ibrahim Sangaré illuminait le jeu au milieu du terrain. Ou quand Badra Ali se montrait impérial sur sa ligne de but. En réalité, c’est c’était comme une crise dans un foyer. Tu ne connais pas les tenants et les aboutissants de l’affaire, ne t’en mêle pas. Sinon, la honte n’est pas loin. Mais comme les Ivoiriens sont Zouglous… Ils donnent rendez-vous à leurs beaux-frères en 2023. Un peu seulement… 

Côte d’Ivoire-Egypte, encore un match de phase finale de la CAN entre ces deux équipes, le 11è et qui tourne en faveur des Pharaons. On pourra tout reprocher à l’entraîneur, aux joueurs, mais personne ne pourra dire qu’ils n’avaient pas envie d’aller plus loin dans ce tournoi. Il leur a manqué cet esprit-tueur, ce côté bagarreur, le brin de chance. Mohamed Salah qui explose à la fin du match. Le meilleur joueur de la Premier League et pourquoi pas du monde, bouclé sur le flanc gauche par un excellent Ghislain Konan. Le défenseur ivoirien, du coup, est resté très concentré et a gardé son couloir. Il a pris très peu de risques offensifs. Mon coup de cœur dans ce match, Deli Simon. Ce garçon, excellent dans le placement et dans la lecture de jeu est le prototype du défenseur-nouveau : il joue juste, sans précipitation. L’autre valeur sûre, au milieu de terrain ivoirien, Ibrahim Sangaré. Le milieu de terrain du PSV Eindhoven de 25 ans, est une graine plantée pour 2023. Il a manqué un but sur un geste acrobatique qui aurait pu être le meilleur du tournoi. C’est un moteur au milieu du terrain et un inspirateur.

Les Égyptiens ont appliqué la même stratégie et recette aux Eléphants qu’en 2008. Ils ont bien étudié le jeu de l’équipe ivoirienne. Ils ont noté que le piston du cylindre à quatre temps de l’équipe de Patrice Beaumelle était Franck Kessié. Comme en 2008 avec Yaya Touré, ils ont visé Franck Kessié et l’ont éliminé. Il est sorti sur blessure. Du coup, le match a changé de nature au milieu de terrain. Patrice Beaumelle a mis du temps à réorganiser son secteur médian. 

En attaque, il y avait du talent et des hommes pour faire la différence. Mais la dernière balle n’arrivait pas à temps. Quand on a un attaquant d’instinct comme Sébastien Haller, les centres et retraits doivent se construire autour de lui. Ou alors, la profondeur, la prise des espaces, les ballons « casse-ligne ». Les couloirs ivoiriens jouent les yeux rivés sur le ballon. Où chacun veut marquer.

Dans l’ensemble, un match à suspens. Un match tactique. Les Pharaons ont manqué d’efficacité devant les buts de Badra Ali. Les Ivoiriens ont manqué de lucidité devant les buts de El Shenawy. L’une ou l’autre équipe aurait pu inscrire le but assassin. Mais les deux gardiens de part et d’autre étaient inspirés et bien en place.

Les tirs au but ont été cruels pour Éric Bailly et la Côte d’Ivoire. Et malheureusement, les Pharaons vont poursuivre leur marche. Les Eléphants quitter plus tôt que prévu, le Cameroun. Pour la Côte d’Ivoire, c’est un recul : en 2019, les Ivoiriens avaient atteint le cap des quarts de finale. Mais il ne faut pas jeter le bébé avec l’eau du bain.

Les tirs au but ont été cruels aussi pour le Mali. La Guinée Équatoriale passe le cap des huitièmes de finale.

Cette CAN au Cameroun. La CAF prend tout en main et ramène tout à Yaoundé…’’

Par Fernand Dédeh

  • Publié dans Sport

La lutte contre la corruption est un combat que toute la population doit pouvoir mener ; un combat de longue haleine parce que c’est toute une culture qu’il faut changer. Bon début de semaine à toutes et à tous !

 Depuis dix ans, nous célébrons la journée internationale de lutte contre la corruption afin de sensibiliser les citoyens aux conséquences de la corruption. Les pays ne sont pas les seuls à devoir endosser la responsabilité face au problème mondial de la corruption. Chaque personne a un rôle à jouer pour prévenir ce crime afin de promouvoir l'intégrité à tous les niveaux de la société.

 À ce titre, "Combattre la corruption" expose les diverses formes de corruption et les mesures de lutte anti corruption qui ont marché. Dans un domaine où le découragement saisit jusqu'aux meilleures volontés, ce livre démontre qu'il est possible d'agir. Dans "Intégrité morale et vie publique", l'auteur choisit de s'intéresser aux individus plutôt qu'aux institutions et fait de la responsabilité individuelle une notion centrale. Patrick Dobel nous rappelle que l'intégrité morale, ou la capacité d'allier la réflexion à l'action dans le souci du bien commun, est la première qualité du détenteur d'une charge publique, et que la responsabilité en est le pivot.

Au-delà de la rigueur dans la mission, que Le Président de laRépublique Alassane Ouattara lui a confiée; sous la supervision du Premier ministre Patrick ACHI. Le ministre de la bonne gouvernance, de la lutte contre la corruption qui vient de prouver, par la poursuite des agents de la santé publique l'un des secteurs très sensible socialement, à toute la Côte d'Ivoire et aussi d’ailleurs; qu’il ne lâche rien, contre la mauvaise gouvernance, et de la lutte contre la corruption.

Il a ici, à YAKASSE -ATTOBROU, chez son patron du gouvernement Patric Achi, révélé son talent d'homme politique, sans langue de bois; j’y étais à ses côtés dans la Région de LA MÉ.   https://www.facebook.com/ZoroEpiphaneBallo/videos/616971476036819

La colère de Vincent Bolloré couve depuis plusieurs mois. C’est un homme que les gouvernants n’impressionnent pas.

Comment Vincent Bolloré mobilise son empire médiatique pour peser sur la présidentielle

ENQUÊTE /    En quelques mois, le milliardaire breton a bâti un pôle réactionnaire qui s’étend de l’audiovisuel à l’édition. Avec comme fer de lance le polémiste vedette Eric Zemmour, dont les obsessions identitaires et anti-islam colonisent le débat public. 

Vincent Bolloré a demandé à passer par la grille du Coq, l’entrée des visiteurs secrets, et il est furieux. Nous sommes en juin 2021 et l’actionnaire principal de Vivendi a rendez-vous avec Emmanuel Macron. « J’entends beaucoup dire que vous me prêtez des intentions qui ne sont pas les miennes », lance le PDG du groupe Bolloré au locataire de l’Elysée.

Près d’un an auparavant, un dîner avait déjà réuni le grand patron, le président, son prédécesseur, Nicolas Sarkozy, et leurs épouses. L’atmosphère avait été conviviale et Carla Bruni avait filmé quelques bribes de la soirée. Cette fois, le déjeuner est expédié plus rapidement que prévu dans une atmosphère glaciale et c’est peut-être là, juste avant l’été, que s’est joué le premier acte de la prochaine présidentielle.

La colère de Vincent Bolloré couve depuis plusieurs mois. C’est un homme que les gouvernants n’impressionnent pas. Adolescent, il jouait au gin rami avec Georges Pompidou, que ses parents, industriels bretons, recevaient, comme François Mitterrand, dans leur maison du Finistère. D’ailleurs, il a croisé presque tous les présidents de la Ve République. Dans certains pays africains ou en Asie, il est reçu avec les égards d’un chef d’Etat. 

C’est peut-être la raison pour laquelle il n’a pas goûté la petite phrase de Brigitte Macron, qui se voulait aimable : « Comment peut-on vous aider ? » La réponse a fusé, bien sèche sous la formule de politesse : « Je vous remercie, Madame. En rien. » Comment peut-on vous aider ? Il ignore que l’épouse du président pose rituellement cette question à ses visiteurs, comme si son mari pouvait tout régler, et ces mots anodins ont résonné pour lui comme un affront, raconte-t-il à un ami. D’autant qu’il a justement le sentiment que l’Elysée cherche à « l’agresser » plus qu’à l’aider. 

« Mais, enfin, arrêtez, vous achetez tout ! » Quatre mois plus tôt, le 26 février, le tribunal de Paris a décidé, à la surprise générale, de renvoyer l’homme d’affaires devant un tribunal correctionnel, alors même qu’il avait accepté de plaider coupable et négocié le paiement des 12 millions d’euros d’amendes dues dans une affaire de corruption au Togo. Vincent Bolloré s’est convaincu que le président est derrière cette décision judiciaire. 

C’est encore Emmanuel Macron, s’exaspère-t-il, qui a poussé le leader mondial du luxe, le puissant patron de LVMH, Bernard Arnault, à entrer dans la bataille pour le contrôle du groupe Lagardère que Bolloré s’apprête à dévorer. 

Pour couronner le tout, Nicolas Sarkozy assure que le chef de l’Etat a demandé à Angela Merkel d’empêcher le géant allemand Bertelsmann de céder sa filiale M6 à Bolloré, finalement tombée en mai dans l’escarcelle du groupe TF1.

Le milliardaire voudrait être certain qu’au sommet de l’Etat on ne lui met pas de bâtons dans les roues. « Mais, enfin, arrêtez, vous achetez tout ! », rétorque le président au-dessus de la table du déjeuner. 

https://www.lemonde.fr  Par Raphaëlle Bacqué et Ariane Chemin

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  • Publié dans Monde