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Infirmière, Charlotte se prostitue depuis quatre ans pour s'en sortir

"Nous étions présents pour tout le monde y compris après, quand il a fallu vacciner à la chaîne. Au final, on a eu droit à quoi ? Une prime de 500 €… C’est ridicule !

Infirmière de profession, Charlotte, habitante du Val-d'Oise, se prostitue depuis 2019 pour élever ses enfants et veiller à ce qu'ils ne manquent de rien. Elle témoigne. Confrontée à des difficultés financières, Charlotte, infirmière et maman de deux préadolescents, se prostitue depuis quatre ans. Confrontée à des difficultés financières, Charlotte, infirmière et maman de deux préadolescents, se prostitue depuis quatre ans. (©La Gazette du Val-d’Oise)

Par Romain Dameron Publié le 28 Mai 23 à 20:46 Voir mon actu Son regard bleu perçant se perd sur l’Oise. Charlotte (*) contient sa colère.

La petite quarantaine, cette habitante du Val-d’Oise exerce depuis plus de vingt ans « ce beau métier d’infirmière », sourit-elle avec ironie. Prostituée depuis quatre ans Il y a quatre ans, cette maman de deux préados a eu du mal à boucler les fins de mois. Son salaire et celui de son conjoint ne suffisaient plus à améliorer l’ordinaire et le manque d’argent est devenu plus pesant au fil du temps. Ni ménages ni Mac Do Pour pouvoir « offrir une semaine de vacances » à ses enfants et faire en sorte « qu’ils ne manquent de rien », cette habitante de la vallée de l’Oise a passé en revue tous les scénarios : « Je ne me voyais pas faire des ménages à 12 € de l’heure ou aller bosser chez Mac Do.

J’ai compris très vite que je pouvais me faire de l’argent facilement. » Alors, un jour gris de janvier 2019, « le 10 précisément », Charlotte a donné rendez-vous à son premier client. Une annonce écrite sur un site Internet, quelques questions posées en ligne, un accord sur le prix, et puis le premier pas dans la prostitution. « Ça a été difficile, mais j’aime le sexe et ça m’a aidée à franchir ce cap », souffle-t-elle. Vidéos : en ce moment sur Actu « Je n’ai jamais eu peur » Les rendez-vous s’enchaînent, chez les clients, dans sa voiture, à l’hôtel ou parfois chez elle pour quelques habitués. « J’ai 4 ou 5 clients fidèles et quelques occasionnels que je ne revois plus », affirme Charlotte. À raison d’une ou deux passes par semaine, parfois plus, elle empoche 800 € « les bons mois ». Malgré les risques liés à son activité, elle affirme ne jamais s’être sentie en danger : « Aucun client ne m’a menacée et je n’ai jamais eu peur. Je les choisis et je me réserve le droit d’en refuser un si je ne le sens pas. » « Je suis fatiguée et malheureuse »

Depuis quatre ans, Charlotte cache sa double vie à ses amis et à sa famille. Aujourd’hui, elle veut témoigner ou plutôt alerter sur ce que sa situation personnelle dit d’une sale époque. « Les gens doivent savoir qu'en 2023 des infirmières font les putes pour pouvoir s'en sortir. Je connais au moins trois consœurs qui sont dans la même situation que moi. Je suis fatiguée et malheureuse, mais je n'ai pas envie que mes enfants trinquent pour tout ça. Tout ce que je fais, c'est pour eux. » Charlotte Infirmière et prostituée Écœurée par le manque de reconnaissance, les salaires au rabais et les promesses sans lendemain, elle laisse exploser sa rage : « J’ai fait trois ans et demi d’études. On a des responsabilités énormes qui peuvent nous envoyer en taule si on commet une erreur. Nous (les soignants, Ndlr) avons tous été réquisitionnés pendant le Covid.

J’ai passé des journées à mettre des gens dans des housses mortuaires.

Nous étions présents pour tout le monde y compris après, quand il a fallu vacciner à la chaîne. Au final, on a eu droit à quoi ? Une prime de 500 €… C’est ridicule ! » Les dernières illusions de Charlotte se sont volatilisées après la pandémie. Aujourd’hui, pour rien au monde, elle encouragerait une étudiante à se lancer dans des études d’infirmière. Vie apaisée On tente de lui parler d’avenir, de jours meilleurs ou d’une vie apaisée, loin des passes et des michetons d’un soir. Charlotte soupire, puis repose sur la rivière ses grands yeux clairs rougis de tristesse. Un silence. « Tout ce que je fais, c’est pour mes gosses », répète-t-elle, comme un mantra. Pour se donner de la force et peut-être aussi un peu d’espoir. (*) Le prénom a été modifié.

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Arrestation des barons présumés de la récente saisie de drogue en Côte d’Ivoire

Après la découverte d’une importante cargaison de drogue à Koumassi et à San Pedro, les autorités mettent au jour les ramifications d’un réseau international qui a fait de la Côte d’Ivoire une véritable plaque tournante. les enquêteurs ont pu identifier et interpeller les principaux membres du réseau, dont les Espagnols Picabea Carnes Aitor et Miguel Angel Devesa Mera. C’est au domicile de ce dernier, âgé de 51 ans et officiellement directeur financier, que la saisie de San Pedro a eu lieu. 

Parmi ses lieutenants, figurent Gustavo Alberto Valencia Sepulveda, de nationalité colombienne, interpellé à Koumassi et José Maria Muniz Cadabal, un Espagnol de 47 ans. Ce dernier, connu sous le pseudonyme de « Virus » par les services français et espagnols, fut impliqué dans une tentative de transbordement de drogue au large du Golfe de Guinée à bord d’une embarcation dénommée « La civelle », appartenant à la société de Devesa Mera. Helbert Perez Garcia dit « Hector », un autre Colombien, a également été arrêté, ainsi que deux Ivoiriens.

Le premier se nomme Koné Dramane. C’est lui qui a géré la location de l’appartement et de la villa abritant la cocaïne et qui s’est procuré le matériel de conditionnement. Le rôle du second, César Ouattara, est plus flou. Tout juste sait-on qu’il était très proche de Devesa Mera, qu’il était présent sur les lieux à Koumassi et qu’il a fui lors de l’arrestation de ce dernier pour se rendre à San Pedro, où il a été arrêté. Venez par là.

LA CHANTEUSE SOPHIA URISTA URINE SUR UN DE SES FANS EN PLEIN CONCERT ET CRÉE LA POLÉMIQUE

Le spectateur n'a pas hésité à monter sur scène, à s'allonger et se faire uriner dessus par la chanteuse Sophia Urista. Le spectateur n'a pas hésité à monter sur scène, à s'allonger et à se faire uriner dessus par la chanteuse Sophia Urista.

[Capture vidéo Twitter] Certains artistes dérapent parfois un peu trop. En plein festival aux Etats-Unis, la chanteuse Sophia Urista, du groupe Brass Against, a littéralement uriné sur un de ses fans en plein concert. Un comportement particulièrement choquant, qui a poussé le groupe à présenter ses excuses par la suite. La scène s'est déroulée alors que le groupe de métal était invité lors du festival Welcome to Rockville au Daytona International Speedway, en Floride le 12 novembre dernier.

En pleine reprise de Wake Up, un titre de Rage Against the Machine, la chanteuse a invité un homme placé au premier rang à monter sur scène. Elle s'est ensuite à moitié dévêtue avant de s'accroupir au dessus de lui et d'uriner. La séquence ahurissante a été filmée et diffusée sur les réseaux sociaux, et nous avons finalement décidé de ne pas la montrer. closevolume_off LES MEMBRES DU GROUPE S'EXCUSENT Brass Against, qui compte plus de 450.000 fans sur son compte Facebook, s'est excusé pour cette «performance» plus que douteuse. «Nous avons passé un bon moment hier soir à Welcome to Rockville. Sophia s’est laissée emporter.

Ce n’est pas quelque chose à quoi nous nous attendions et ce n'est pas non plus quelque chose que vous verrez à nouveau lors de nos concerts», a assuré le groupe sur ses réseaux sociaux.

 «CE MONDE EST FOU ET CE N'EST PAS LE MIEN !»

Forcément, les internautes, mi-choqués, mi-amusés, n'ont pas manqué de réagir à ce scandale. «Il y a longtemps, les chanteurs talentueux comptaient sur leur talent pour devenir célèbres», «Dans quel monde vit-on ??? Je suis horrifiée. La prochaine fois, ce sera quoi ??», peut-on lire sur Twitter, ou encore : «La chanteuse Sophia Urista pisse sur un de ses fans en plein concert !!! Ce monde est fou et ce n'est pas le mien !». «J’suis dépassé par les événements comment on en est arrivé là ?», lance un autre.

À voir aussi

LA MOBILITÉ URBAINE DU GRAND ABIDJAN (AMUGA) EN PARTENARIAT AVEC LE MINISTÈRE DE LA SALUBRITÉ A PROCÉDÉ CE VENDREDI, À L'OPÉRATION DE LIBÉRATION DES EMPRISES DE LA VOIE EXPRESS DU 1ER PONT DE YOPOUGON Abidjan

OPÉRATION DE LIBÉRATION DES EMPRISES DE LA VOIE EXPRESS DU 1ER PONT DE YOPOUGON ABIDJAN LE 05 NOVEMBRE 2021.

- L’Autorité de la mobilité urbaine dans le Grand Abidjan (AMUGA) a procédé, vendredi 05 novembre 2021, au déguerpissement des vendeurs ambulants et des occupants des espaces publics de la commune de Yopougon, afin de rétablir une bonne circulation routière. « Nous avons lancé cette opération de libération des emprises des carrefours qui sont anarchiquement occupés par les vendeurs ambulants au premier pont de Yopougon parce que nous avons constaté qu’il y a énormément d’embouteillage qui sont en partie dus aux mauvaises manœuvres dans les carrefours et aux problèmes de stationnement », a expliqué le directeur de la planification des études et des projets de l’AMUGA, Gahié Aristide. Il a rassuré que plusieurs mesures ont été prises pour le suivi de cette opération qui s’étendra aux carrefours de Siporex, du troisième pont et bien, d'autres carrefours Il a également précisé que tous ceux qui occupent les espaces publics du premier pont de Yopougon avaient été informés un mois avant l’opération de déguerpissement.

« Nous avons été effectivement prévenus avant cette opération de déguerpissement, cependant, ne sachant pas où aller, nous sommes restés. Je reconnais le bien qu’ils font mais j’ai mal car j’ai des enfants à nourrir », a réagi une vendeuse d’articles au premier pont, Nicole Amandine. L’adjudant de police à la brigade de l’assainissement, M. M’Betié a quant à lui expliqué aux vendeurs ambulants le bien-fondé de cette opération. L’AMUGA a effectué cette opération en partenariat avec la mairie de Yopougon, le ministère de l’Equipement et de l’Entretien routier et le ministère de la Salubrité. Elle a pour missions d’assurer l’organisation et la coordination des différents modes de transport du périmètre des transports urbains de sa compétence. (AIP)

A LIRE / Une opération de déguerpissement lancée à Yopougon1er pont de Yopougon : les installations anarchiques des emprises de la voie express déguerpies

OPÉRATION DE LIBÉRATION DES EMPRISES DE LA VOIE EXPRESS DU 1ER PONT DE YOPOUGON ABIDJAN LE 05 NOVEMBRE 2021. L'AUTORITÉ DE LA MOBILITÉ URBAINE DU GRAND ABIDJAN (AMUGA) EN PARTENARIAT AVEC LE MINISTÈRE DE LA SALUBRITÉ A PROCÉDÉ CE VENDREDI, À L'OPÉRATION DE LIBÉRATION DES EMPRISES DE LA VOIE EXPRESS DU 1ER PONT DE YOPOUGON

L’Autorité de la mobilité urbaine du Grand Abidjan (AMUGA), avec le soutien du ministère de la salubrité, du ministère de l’équipement et de l’entretien routier et la mairie de Yopougon, a procédé ce vendredi 05 novembre 2021, à l'opération de libération des emprises de la voie express du 1er pont de Yopougon.

«Nous avons constaté qu’il y a énormément d’embouteillages à Abidjan et ces embouteillages sont en partie dûs aux mauvaises manœuvres dans les carrefours et aux problèmes de stationnement à l’approche de ces carrefours », a expliqué Gahié Aristide, directeur de la planification des études et des projets de l’AMUGA.

Cette opération a donc été lancée pour la libération des emprises de tous les carrefours où les commerçants occupent anarchiquement les chaussées. A l’en croire, sa structure avait déjà échangé avec les personnes déguerpies. Après concertation, des mises en demeure ont été remises aux concernés « Aujourd’hui nous procédons effectivement à la libération de ces emprises », a-t-il indiqué. « Cette opération va s’étendre sur l’ensemble du district d’Abidjan. Tous les carrefours où il y a des mauvais stationnements, où les gens se sont installés de manière anarchique, nous allons procéder de manière progressive au déguerpissement de ces personnes pour améliorer les conditions de circulation des personnes et des biens » ,a rassuré M. Gahié. La prochaine étape sera de déguerpir le carrefour Siporex puis le troisième pont, note-t-on 1er pont de Yopougon : les installations anarchiques des emprises de la voie express

OPÉRATION DE LIBÉRATION DES EMPRISES DE LA VOIE EXPRESS DU 1ER PONT DE YOPOUGON ABIDJAN LE 05 NOVEMBRE 2021. L'AUTORITÉ DE LA MOBILITÉ URBAINE DU GRAND ABIDJAN (AMUGA) EN PARTENARIAT AVEC LE MINISTÈRE DE LA SALUBRITÉ A PROCÉDÉ CE VENDREDI, À L'OPÉRATION DE LIBÉRATION DES EMPRISES DE LA VOIE EXPRESS DU 1ER PONT DE YOPOUGON

L’Autorité de la mobilité urbaine du Grand Abidjan (AMUGA), avec le soutien du ministère de la salubrité, du ministère de l’équipement et de l’entretien routier et la mairie de Yopougon, a procédé ce vendredi 05 novembre 2021, à l'opération de libération des emprises de la voie express du 1er pont de Yopougon. «Nous avons constaté qu’il y a énormément d’embouteillages à Abidjan et ces embouteillages sont en partie dûs aux mauvaises manœuvres dans les carrefours et aux problèmes de stationnement à l’approche de ces carrefours », a expliqué Gahié Aristide, directeur de la planification des études et des projets de l’AMUGA. 

1er pont de Yopougon : les installations anarchiques des emprises de la voie express déguerpies

L’Autorité de la mobilité urbaine du Grand Abidjan (AMUGA), avec le soutien du ministère de la salubrité, du ministère de l’équipement et de l’entretien routier et la mairie de Yopougon, a procédé ce vendredi 05 novembre 2021, à l'opération de libération des emprises de la voie express du 1er pont de Yopougon. «Nous avons constaté qu’il y a énormément d’embouteillages à Abidjan et ces embouteillages sont en partie dûs aux mauvaises manœuvres dans les carrefours et aux problèmes de stationnement à l’approche de ces carrefours », a expliqué Gahié Aristide, directeur de la planification des études et des projets de l’AMUGA.

Cette opération a donc été lancée pour la libération des emprises de tous les carrefours où les commerçants occupent anarchiquement les chaussées. A l’en croire, sa structure avait déjà échangé avec les personnes déguerpies. Après concertation, des mises en demeure ont été remises aux concernés « Aujourd’hui nous procédons effectivement à la libération de ces emprises », a-t-il indiqué. « Cette opération va s’étendre sur l’ensemble du district d’Abidjan. Tous les carrefours où il y a des mauvais stationnements, où les gens se sont installés de manière anarchique, nous allons procéder de manière progressive au déguerpissement de ces personnes pour améliorer les conditions de circulation des personnes et des biens » ,a rassuré M. Gahié.

La prochaine étape sera de déguerpir le carrefour Siporex puis le troisième pont, note-t-on. ====== Cette opération a donc été lancée pour la libération des emprises de tous les carrefours où les commerçants occupent anarchiquement les chaussées. A l’en croire, sa structure avait déjà échangé avec les personnes déguerpies. Après concertation, des mises en demeure ont été remises aux concernés « Aujourd’hui nous procédons effectivement à la libération de ces emprises », a-t-il indiqué. « Cette opération va s’étendre sur l’ensemble du district d’Abidjan. Tous les carrefours où il y a des mauvais stationnements, où les gens se sont installés de manière anarchique, nous allons procéder de manière progressive au déguerpissement de ces personnes pour améliorer les conditions de circulation des personnes et des biens » ,a rassuré M. Gahié. La prochaine étape sera de déguerpir le carrefour Siporex puis le troisième pont, note-t-on. =====

Par Benoit Hili / Face-à-face cocasse ! Scène cocasse. Une pétasse, pardonnez du peu, une jeune dame, institutrice de son état, est la cause du calvaire de pauvres gamins qui ont composé au Bepc.

Cette dame avait surveillé l’épreuve de la dictée à la Salle 12, le 14 juin dernier, au centre d’examen Epp Labat A de Williamsville, à Abidjan. Ce lundi 23 octobre, la fameuse dame s’amène à la Direction des examens et concours (deco) flanquée de membres de sa famille et escortée par la fondatrice de son école. Une école primaire située aux 220 logements dont nous tairons le nom pour le moment. La deco veut en avoir le cœur net sur l’incident que cette curieuse surveillante a provoqué il y a quatre mois. Ce lundi est donc jour de vérité. Un face-à-face.

 Des enfants sont convoqués, de même que les deux directeurs du centre d’examen et du centre de correction. Face aux déclarations des deux directeurs et des gamins qui l’accablent, l’enseignante, notre belle pétasse, choisit de tout nier en bloc. L’affaire agace et prend un tour cocasse. Et il est décidé que la fameuse surveillante fasse sa déposition à la police puisqu’elle refuse de la faire devant les fonctionnaires de la déco. Elle se ravise et promet de dire la vérité. Mais ce n’est que pure grimace, puisqu’elle se rétracte au moment de passer à table. Dégueulasse ! Pourtant, le lendemain, de l’incident survenu mi-juin à l’épreuve de dictée, la même dame avait reconnu les faits à demi-mots, devant le directeur du centre d’examen. Elle avait avoué avoir pris la malheureuse initiative d’aider des gamins soi-disant par « humanisme ». 

Les gosses avaient grogné pour lui dire qu’un examen n’est pas le lieu où on fait des faveurs à des candidats. Peine perdue. Alors, pris de peur ou paniqués, quelques pauvres bouts de choux avaient cédé au chantage. Ce fut une infime minorité, d’autant que la surveillante vendait son offre d’aide à 1000F. Or, rares, sont on le sait, les gamins de 13, 14 ans, qui vont en classe avec des billets de 1000F. A la correction, les correcteurs ont, hélas, accolé une mention de fraude sur toute la salle de 29 élèves. Toute la salle ! Sans doute, après sans doute identifié deux ou trois cas suspects.

Mais que pouvaient faire les élèves honnêtes face à leur enseignante ?

Ils ont même subits la double peine : la surveillante ayant bâclé la lecture de la dictée. En attendant la suite, on peut saluer la détermination des fonctionnaires de la deco de situer les responsabilités. D’ici-là, ce sont les pauvres enfants qui trinquent, suspendus qu’ils sont à la décision de leurs autorités éducatives. Des élèves d’ailleurs, brillants, issus d’établissement de référence, notamment catholiques.

Ces établissements d’origine ont fait, pour certains, des taux de 95% de réussite à cette même session de Bepc. Et ils s’indignent de voir leurs élèves pris au piège. Conséquence de cela, les dirigeants d’établissements concernés ont fait des réclamations. Ils suivent l’affaire de très près. Solidaires, en cela, aux parents d’élèves qui se lassent de cette angoisse.

Par Benoit Hili

Côte d'Ivoire: Un employé de banque recherché pour avoir détourné plus de 450 millions de FCFA "Détournement de fonds GCI"

Un employé recherché pour le vol de 450 millions de FCFA 19 ans après l'affaire Sia Popo Prosper, du nom du vigile anciennement en poste à l'agence centrale de la Banque Centrale des Etats de l'Afrique de l'Ouest (BCEAO) à Abidjan, qui en 2002 avait réussi le hold-up du siècle en emportant la cagnotte de 3 millions d'euros, soit plus de 2 milliards FCFA, la Côte d'Ivoire renoue avec les détournements spectaculaires.

Cette fois, il ne s'agit pas d'un braquage, mais d'une grosse opération d'escroquerie qui aurait été perpétrée par Lasme Jean-Jacques Gnangne, développeur en service à la Société Générale de Côte d'Ivoire (SGCI). La banque l'accuse d'avoir réussi à détourner la somme de 450 millions de FCFA, en s'appuyant sur la maîtrise qu'il a de la base de l'éditeur à laquelle il a accès en tant que développeur.

Financial Afrik explique que le suspect "s'est octroyé un découvert de 600 millions de Franc CFA et s'est envolé. Le banquier indélicat laisse un compte bien au rouge avec -450 millions de Franc CFA". Toujours d'après le journal, "la facilité de découvert arrive à échéance le 24 février 2022. Le présumé responsable de la fraude, un AS des technologies de l'information selon son compte LinkedIn, était employé dans la dite banque en temps qu'informaticien". Cependant, rassure la SGCI que la situation est sous contrôle. "C'est donc en toute sécurité que nos clients et partenaires peuvent continuer à effectuer leurs opérations bancaires", indique-t-on du côté de la SGCI.

En attendant que des détails supplémentaires soient fournis sur cette affaire, le concerné serait en fuite, et activement recherché par les services de la police et de la gendarmerie.

 

COMMENT ÉVITER DE SE ARNAQUER POUR L'ACHAT D'UN TERRAIN EN CIV ( ABIDJAN )

Pour tout achat en matière immobilière il faut tout d'abord se renseigner sur les documents que le vendeur détient sur le bien en question, ■ Si celui-ci détient : - un ACD - un Certificat de propriété, - un Certificat de mutation de propriété, - un ACP,

Prière de passer voir le Notaire pour les vérifications et la certification des documents, - une Lettre d'Attribution / ou un ACD en cours , Prière de passer voir un Huissier de justice pour les vérifications et la certification des documents,

■ Si le terrain en vente est un terrain villageois c'est-à-dire un terrain avec une attestation villageoise il vous faut d'abord vérifier: - si le lotissement sur lequel figure le lot est approuvé par le ministère de la construction, - si le lotissement n'est pas approuvé je vous prie de ne pas vous engager, par contre,

● si le lotissement est approuvé prière de vérifier dans le guide du village si celui qui veut vous céder le lot y est inscrit de façon régulière ensuite effectuer la même vérification dans le guide du ministère, si son nom est inscrit dans les deux guides vous pouvez vous engager, - faire une cession et - demander une attestation de cession en votre nom , - recourir par la suite à un Commissaire de justice pour effectuer le compulsoire celui-ci va se charger de procéder au formalités de mutations dans les deux guides (village et ministère de la construction) - une fois le PV de compulsoire délivré, - vous devez vous faire établir un dossier technique de bornage signé par un géomètre expert agréé.

●Se dépêcher pour formuler sa demande D'ACD en joignant ces documents : - 04 copies de votre CNI , - l'original du PV de compulsoire plus 3 autres copies , - le dossier technique, - l'original de l'attestation plus 3 autres copies - plus un montant de 101 000 fcfa .

Suivre attentivement votre demande D'ACD car le premier titre de propriété définitif sur un bien immobilier en côte d'ivoire c'est L'ACD , l'attestation villageoise n'est rien d'autre qu'un document délivré par les autorités coutumières pour vous permettre de faire établir votre ACD.

Côte d'Ivoire : CHU d'Angré, « Affaire une femme décédée par manque d'assistance médicale », quelle est la vérité des faits ? Le Ministère de la Santé interpellé

CHU d'Angré / La toile s’est enflammée le mardi 28 septembre 2021 suite à la divulgation d’une vidéo dans laquelle un homme dénonçait le décès dans des conditions déplorables d’une Dame au Centre Hospitalier Universitaire (CHU) d’Angré. Selon ce dernier, la malade a rendu l’âme par manque d’assistance médicale. Une accusation que réfutent les responsables du CHU d’Angré.

À en croire le chef du service médecine interne et Gériatrie du Chu d’Angré, comme le rapporte un confrère, la patiente a été évacuée de l’hôpital général de Jacqueville dans la matinée et est arrivée aux services des urgences aux environs de midi. Malheureusement, il y avait trois (3) autres ambulances pour une seule place. Elle n’a pas pu être assistée et a rendu l’âme à 13 h 30 minutes.

Contrairement à ce qui se raconte sur les réseaux sociaux, le médecin senior soucieux de l’état des malades a contacté le Chu de Treichville et une place lui était réservée là-bas. Cependant, les parents de la patiente ont refusé de s’y rendre protestant que ce serait la même chose qu’il n’y aurait pas de place également dans cet établissement sanitaire de Treichville, explique-t-on.

Informé de cette triste situation, le ministre de la Santé, de l’Hygiène publique et de la Couverture maladie universelle, Pierre Dimba N'Gou, ne s’est pas donné du repos. Très tard dans la nuit du drame, il s'est rendu dans ledit établissement sanitaire pour s’enquérir de la réalité des faits, que nous attendons impatiemment auprès de ses services.

Source Koaci.com - mercredi 29 septembre 2021 - 10:11 Le Ministre de la Santé s’est rendu au CHU d’Angré mardi pou

Ce dimanche 26 septembre 2021, des éléments du secteur 3 Cocody, de retour de leur patrouille, ont découvert "trois engins explosifs à l'extérieur" de la caserne.

Abidjan (Côte d'Ivoire) -

Trois engins explosifs découverts dimanche à l'entrée d'une brigade, une unité de gendarmerie, à Cocody, dans l'Est d'Abidjan, des "balisés", selon une source sécuritaire. Selon cette source, ce dimanche 26 septembre 2021, des éléments du secteur 3 Cocody, de retour de leur patrouille, ont découvert "trois engins explosifs à l'extérieur" de la caserne. La découverte a été faite "à l'entrée de la brigade", poursuit la même source, mentionnant que les engins ont été balisés et une expertise des unités spécialisées a été demandée. Une "enquête en cours" devrait permettre de déterminer les auteurs de cet acte, de situer leurs mobiles et d'engager des actions subséquentes.

Source AP/ls

Covid : les décès sont rares parmi les vaccinés - ONS Les chiffres montrent le degré élevé de protection des vaccins contre la maladie et la mort, a déclaré l'ONS.

Les chiffres montrent le degré élevé de protection des vaccins contre la maladie et la mort, a déclaré l'ONS.

Sur plus de 51 000 décès de Covid en Angleterre entre janvier et juillet 2021, seuls 256 sont survenus après deux doses. Il s’agissait pour la plupart de personnes à très haut risque de maladie du Covid-19. Les chiffres montrent le degré élevé de protection des vaccins contre la maladie et la mort, a déclaré l'ONS. Les vaccins ne sont pas efficaces à 100 % et il faut quelques semaines après votre deuxième dose pour obtenir la protection la plus complète. Sur les 51 281 décès impliquant le Covid enregistrés en Angleterre entre le 2 janvier et le 2 juillet 2021 : 640 (1,2 %) étaient des personnes qui avaient reçu les deux doses de vaccin

Ce total comprend les personnes qui avaient été infectées avant d'être vaccinées Près de 458 décès (0,8 %) étaient des personnes décédées au moins 21 jours après leur deuxième dose Seulement 256 décès (0,5 %) étaient des personnes qui étaient à la fois complètement vaccinées et qui ont eu leur premier test PCR positif au moins 14 jours après leur deuxième dose Short presentational grey line A lire aussi :

Comment se protéger du covid Les vaccins réduisent les risques de COVID long 'J'ai perdu 15 parents en un mois à cause de Covid' Short presentational grey line Les décès survenant au moins deux semaines après la deuxième injection avec un premier test PCR Covid positif – ont tendance à se produire chez les plus vulnérables, les hommes et ceux dont le système immunitaire est affaibli, l'âge moyen étant de 84 ans.

Mais les chiffres globaux étaient très faibles - ils ne représentaient que 0,5 % de tous les décès dus au Covid-19 au cours des six premiers mois de l'année. "Notre nouvelle analyse montre que, malheureusement, il y a eu des décès de personnes impliquant Covid-19 bien qu'elles soient complètement vaccinées. Cependant, nous avons également constaté que le risque de décès impliquant Covid-19 est beaucoup plus faible chez les personnes complètement vaccinées que chez celles qui ne le sont pas", dit Julie Stanborough, de l'ONS. Comment la protection de Pfizer et Astrazeneca s'affaiblit contre le coronavirus au fil des mois Parmi ceux qui sont décédés après deux doses, 13 % étaient immunodéprimés, 61 % étaient des hommes et plus de 75 % étaient cliniquement extrêmement vulnérables. Au Royaume-Uni, 80 % des personnes âgées de 16 ans et plus ont reçu deux doses et près de 90 % en ont reçu une.

Étant donné que les vaccinations ont été proposées en priorité, les groupes à haut risque en premier - comme l'a conseillé l'organisme consultatif britannique sur les vaccins - il n'est pas utile de comparer le nombre de décès dans les groupes vaccinés et non vaccinés au fil du temps. Alors que de plus en plus de personnes sont vaccinées, le nombre de personnes entièrement vaccinées infectées par le Covid qui en meurent ensuite augmentera également - bien que le taux de décès dus au Covid soient beaucoup plus faibles maintenant qu'ils ne l'étaient avant les vaccins. Il s’agissait pour la plupart de personnes à très haut risque de maladie du Covid-19. Les chiffres montrent le degré élevé de protection des vaccins contre la maladie et la mort, a déclaré l'ONS.

Les vaccins ne sont pas efficaces à 100 % et il faut quelques semaines après votre deuxième dose pour obtenir la protection la plus complète. Sur les 51 281 décès impliquant le Covid enregistrés en Angleterre entre le 2 janvier et le 2 juillet 2021 : 640 (1,2 %) étaient des personnes qui avaient reçu les deux doses de vaccin Ce total comprend les personnes qui avaient été infectées avant d'être vaccinées Près de 458 décès (0,8 %) étaient des personnes décédées au moins 21 jours après leur deuxième dose Seulement 256 décès (0,5 %) étaient des personnes qui étaient à la fois complètement vaccinées et qui ont eu leur premier test PCR positif au moins 14 jours après leur deuxième dose Short presentational grey line A lire aussi : Comment se protéger du covid Les vaccins réduisent les risques de COVID long 'J'ai perdu 15 parents en un mois à cause de Covid' Short presentational grey line Les décès survenant au moins deux semaines après la deuxième injection avec un premier test PCR Covid positif – ont tendance à se produire chez les plus vulnérables, les hommes et ceux dont le système immunitaire est affaibli, l'âge moyen étant de 84 ans. Mais les chiffres globaux étaient très faibles - ils ne représentaient que 0,5 % de tous les décès dus au Covid-19 au cours des six premiers mois de l'année.

"Notre nouvelle analyse montre que, malheureusement, il y a eu des décès de personnes impliquant Covid-19 bien qu'elles soient complètement vaccinées. Cependant, nous avons également constaté que le risque de décès impliquant Covid-19 est beaucoup plus faible chez les personnes complètement vaccinées que chez celles qui ne le sont pas", dit Julie Stanborough, de l'ONS. Comment la protection de Pfizer et Astrazeneca s'affaiblit contre le coronavirus au fil des mois Parmi ceux qui sont décédés après deux doses, 13 % étaient immunodéprimés, 61 % étaient des hommes et plus de 75 % étaient cliniquement extrêmement vulnérables.

Au Royaume-Uni, 80 % des personnes âgées de 16 ans et plus ont reçu deux doses et près de 90 % en ont reçu une. Étant donné que les vaccinations ont été proposées en priorité, les groupes à haut risque en premier - comme l'a conseillé l'organisme consultatif britannique sur les vaccins - il n'est pas utile de comparer le nombre de décès dans les groupes vaccinés et non vaccinés au fil du temps. Alors que de plus en plus de personnes sont vaccinées, le nombre de personnes entièrement vaccinées infectées par le Covid qui en meurent ensuite augmentera également - bien que le taux de décès dus au Covid soient beaucoup plus faibles maintenant qu'ils ne l'étaient avant les vaccins.

https://www.bbc.com/afrique/monde-58563802...

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